On voudrait tout écrouler qu'on ne s'y prendrait pas mieux ...
Vous vous souvenez ? Et la source près de la boulangerie, qu'est-elle devenue ?
Ces commerces et habitations font partie d'un ensemble, d'une copropriété, les commerçants n'étant (du moins on le suppose, c'est souvent le cas, propriétaires des murs.)
Cette copropriété,donc, va de la boulangerie au local Zarev, cet espace de musique y compris donc.
Derrière une cour est en copropriété.
Voilà pour la présentation des lieux.
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Maintenant, l'histoire......
Le garage Renault a été vendu à un promoteur, Franco Suisse. Le PLU de 2004,tout frais donc, autorisait 16m de hauteur en ces lieux.
Le projet de ce promoteur est de faire dans la rue H.Prou un ensemble architectural de grande hauteur,et ce, des deux côtés de la rue.
Lisez ou relisez: Robert Desnos, André Briquet et les pompiers aux Clayes
Le promoteur ne cherche pas trop à acheter la copropriété dont nous parlons ci-dessus.
Soit les propositions sont molles, soit les propriétaires ne sont pas convaincus mais cela revient au même, non ?
Pourquoi ? Parce que déplacer, pendant les travaux, trois commerces dont deux, boulangerie et pharmacie ne se fait pas à la légère.
Pour la pharmacie des distances de proximité avec le lieu actuel doivent être respectées.
Pour la boulangerie, les fours et autres matériels doivent être construits, selon des normes. La proximité aussi doit être respectée.
Rien n'exclut non plus une indemnisation pour désagréments ....
Et ce, provisoirement pour la durée des travaux....(ça a duré les travaux Franco Suisse....)
Des habitants du vieux centre consultent les plans du projet "Flora" constatent les hauteurs prévues et illégales (hors PLU) elles sont de 20m de haut.
Ceci est, néanmoins, mais fort curieusement, accepté par la mairie.
Permis accordé sans réserve aucune en mars 2008.
Une association est créée, ADCHV, en octobre 2008 Bulletin de l'association
C'est important de rappeller que l'association est née après le dépot de permis de construire, et donc, après tout démarchage éventuel d'un promoteur . Il est arrivé à madame la mairesse de dire que c'est à cause de l'association si l'ensemble de cette copropriété n'aurait pas été " cédée" à ....
C'est faux, l'association n'existait pas, alors.
Toute affirmation de ce genre est donc de la diffamation.
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Suite de l'histoire (elle est longue, c'est toute un mandature)
Une autre projet mairie est en vue.
Céder le cinéma,vieux certes ce cinéma mais tout à fait confortable et bien situé, à un promoteur de logements à accessibilité sociale.
Mais voilà, le cinéma,seul, ce n'est pas un assez grand espace pour un projet d'envergure...Donc la mairie cède le terrain de verdure, situé derrière, entre maisonnettes du verger et cinéma.
Cet espace est répertorié dans l'espace du Château.
Et s'il n'avait pas été construit à l'époque des constructions dans le parc de 1975-80, ce n'était pas par altruisme promotionnel, mais bien parce que ce terrain présentait des problèmes pour la construction: LES SOURCES.
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Bref...revenons à nos moutons:
Il manque des m2...pour le projet "ex cinéma"...
Aye,aye !
Que fait-on ?
On préempte , on achète ( ?) et on cède au promoteur un morceau de la cour en copropriété citée en début d'article.
Vous suivez ?
On ampute la copropriété....pour cette nouvelle construction à venir, celle de l'ancien cinéma.....et le temps passe
Cette fois, il y avait bien eu des propositions de rachat, du local Zarev, de l'Arbre de Diane buraliste.....mais pour si peu..
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Monsieur Zarev n'est plus.
Sa passion, la musique.
Son travail, la musique.
Dans son local, espace situé contre l'ancien cinéma, il a offert à bien des générations le goût d'appendre.
Ce travail restait une nécessité, tout autant qu'une passion.
Il lui aurait été proposé 40000€ par la municipalité pour son local.
Est-il possible de retrouver un autre lieu pour poursuivre son activité avec si peu d'argent, et quand on est déjà bien agé ?
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La cour commune amputée, le mystère demeure sur le mode d'achat et sur le réel choix des copropriétaires.
Le local de M.Zarev est accolé au mur de l'ancien cinéma.
Durant les travaux de démolition, son toit a été fortement bousculé...
Derrière, juste derrière, un glissement de terrain a été provoqué par les travaux (voyez les photos de l'article précédent)
On aurait vu, au petit matin, un engin de démolition "soutenir et pousser" le local.
Mais nous attendons la photo qui en atteste.
D'un côté le mur de la boulangerie, fortement fissuré mais bien plus que cela, de l'autre, le local qu'on aimerait écraser, les copropriétaires et commerces sont entre deux pots de fer .
On voudrait tout écrouler qu'on ne s'y prendrait pas mieux ...
